Pour le CJD, trois grands chantiers sont ouvrir sans délais : l’harmonisation de la notion de "jour" dans le Code du Travail, le rescrit social et la déclaration sociale nominative. Ces trois propositions constituent « un signal positif envoyé au monde entrepreneurial, mais la réforme n’en est qu’à ses balbutiements ».
Selon le CJD, le Code du travail, dont les quelque 3 000 pages ne sont clairement pas comprises et assimilées par les dirigeants de TPE et PME, amènent une réelle complexité dans la relation employeur/employé. Les seuils découragent notamment les dirigeants à faire grandir l’entreprise, donc à créer de l’emploi. De son côté, la simplification des bulletins de salaires illustrerait une réelle volonté de simplification, visible par tous. Le CJD propose même d’aller plus loin en démarrant le chantier de la fiscalité à la source. Enfin, la relation contractuelle entre employeur et salarié pourrait se caractériser par un contrat unique, une refonte de la période de préavis et une modulation du temps de travail et de la rémunération.
Comme le soulignent Richard Thiriet et Laurent Bazin, président et vice-président du CJD, « Il ne faut pas s'arrêter en chemin mais favoriser une concertation efficace en amont et des schémas de décision courts avec les entrepreneurs. »
Simplification : le CJD propose trois nouvelles pistes
Parmi les actions proposées par le Gouvernement pour simplifier la vie des entreprises, trois retiennent particulièrement l'attention du Centre des jeunes dirigeants d'entreprise (CJD).

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