Accrédité par la Conférence des Grandes Écoles (CGE), le Mastère spécialisé IBE est destiné à former des professionnels du secteur de l’immobilier et du bâtiment à la construction, la réhabilitation et la gestion de l’immobilier durable en prenant en compte les dimensions politique, économique, sociologique et technique. Ainsi, il présente l’originalité d’articuler la culture de l’immobilier, centrée sur la finance et le droit, et la culture du bâtiment, centrée sur l’architecture et les sciences de l’ingénieur. Son ambition : aider les différents acteurs à acquérir une culture commune et à « travailler ensemble », seule approche permettant d’atteindre des performances environnementales réelles élevées, avec des coûts maîtrisés et une bonne appropriation sociale.
Crédit Agricole Immobilier est un acteur de la ville dense et durable, soucieux de préserver les terres agricoles. Il intervient sur tous les marchés immobiliers : logements, bureaux, aménagement urbain et équipements publics : « Ce partenariat avec l’École des Ponts ParisTech a pour but de renforcer notre collaboration avec le monde académique, notamment sur les enjeux de l’évolution des métiers de l’immobilier », commente Guy Bernfeld, directeur général délégué de Crédit Agricole Immobilier. « Le Mastère spécialisé IBE a pour ambition de rapprocher la culture de l’immobilier et du bâtiment. Cette double culture correspond parfaitement aux exigences des différents métiers que notre entreprise exerce sur l’ensemble de la chaine de valeur de l’immobilier, ainsi qu’aux attentes du Groupe Crédit Agricole, notamment sur deux de ces domaines d’excellence : le Logement et l’Economie de l’Energie et de l’Environnement » ajoute-t-il. « En effet, les métiers de l’immobilier évoluent très vite et nécessitent d’être au cœur de l’innovation. Nouer durablement un partenariat avec le Mastère Spécialisé IBE est en phase avec les ambitions de Crédit Agricole Immobilier, tant en matière de formation de nos collaborateurs que de développement en R&D pour produire le Bâtiment de Demain », conclut Guy Bernfeld.