Les qualifications nécessaires à l'exercice d'un métier de l'artisanat ne seront donc pas remises en cause. L'UPA se félicite de la sagesse des parlementaires de tous bords qui ont entendu le message porté par les 1 300 000 entreprises de l'artisanat et du commerce de proximité.
L'UPA était vent debout contre cette disposition du projet de loi Sapin II qui aurait pu « généraliser la concurrence déloyale et dévaloriser les métiers de l'artisanat, en supprimant l'exigence d'une qualification professionnelle pour exercer une activité artisanale », selon Jean-Pierre Crouzet, président de l'UPA.
L'artisanat continuera à former des milliers de jeunes, à offrir des centaines de milliers d'emplois et à créer des centaines de milliers d'entreprises pérennes, tout en conservant un haut niveau d'exigence de qualifications.