Ils ont manifesté dernièrement devant le Palais du Tribunal de commerce de Paris, 1 quai de la Corse à Paris, pour alerter le Gouvernement et les parlementaires sur leurs préoccupations.
- Si demain l’équilibre financier des greffes n’est plus assuré, quel sera l’avenir de leurs 1 800 salariés ? Qu’est-ce que l’Etat leur proposera en remplacement ? Des postes de fonctionnaires ? Ou alors un statut de chômeur !
- Comment croire qu’il sera possible de proposer un service de transmission électronique gratuit et de qualité sans ponctionner les finances publiques ?
- Pourquoi supprimer un service qui fonctionne bien et reconnu comme tel par tous, qui ne coûte pas un centime à l’Etat, ni aux contribuables et qui fait vivre des milliers de personnes ?
Ce sont autant d’interrogations que les 221 salariés du greffe du Tribunal de commerce de Paris ont exprimées dans une lettre ouverte adressée le 21 janvier aux députés et aux sénateurs, et qu’ils ont réitéré lors de leur manifestation du mardi 27 janvier de 10h à 14h.