« Je serai président autant que je le dois et je serai candidat autant que je le peux », a-t-il soiuligné, hier, à Poissy, sans les Yvelines, lors d'une "conversation" avec des habitants, dans ce contexte pesant avec le retour de la guerre en Europe. « Moi qui ai beaucoup défendu le “en même temps”, celui-là est compliqué (...) c'est difficile d'être en même temps président et candidat », a-t-il reconnu.
« La force de la France n'est ni dans le rétrécissement ni dans le catastrophisme », a-t-il lancé en préambule, dans une allusion à ses rivaux d'extrême droite. Il reste « encore beaucoup à faire », notamment en matière de transition énergétique, de sécurité et d’immigration.
« Rien n'est acquis, mais j'ai envie de faire », a précisé celui qui est largement en tête des intentions de vote du premier tour, dépassant même la barre des 30 % dans certains sondages, et donné vainqueur dans tous les cas de figure au second tour selon les sondages.