« Une première enveloppe de 400 000 euros devrait aider les 21 gestionnaires des cantines parisiennes à investir dans la sortie du plastique », a précisé Audrey Pulvar, adjointe à l'alimentation durable.
La Ville veut ainsi « réduire la quantité de plastique dans la ville » et lutter contre les perturbateurs endocriniens « dangereux, spécialement pour les petits », a expliqué l'ancienne journaliste qui entend, pour ce double enjeu environnemental et sanitaire, « dépasser les objectifs fixés par la loi Egalim » qui « limite » la fin du plastique « à la restauration scolaire ».