Le président du club parisien, Nasser Al-Khelaïfi, assure que, faute de pouvoir devenir propriétaire du Parc des Princes, QSI pourrait chercher un autre stade. « Ils sont titulaires d'un bail de 30 ans, ils souhaiteraient pouvoir engager une phase d'investissement, et ils disent : on injecte 500 ou 600 millions d'euros de travaux que si on est propriétaires. Ce n'est pas notre inclination première de leur vendre le Parc des Princes. C'est le patrimoine de la ville, des Parisiens », a expliqué Emmanuel Grégoire.
« Des discussions sont engagées autour de la vente et on leur a dit : avant même de savoir si on souhaite vendre, il faudrait s'entendre sur un prix. Aujourd'hui, on n'est pas encore arrivé au bout de ces discussions », a-t-il poursuivi.
Pour Emmanuel Grégoire, « la tactique de négociation (...) peut s'apparenter à un coup de pression et je ne crois pas que ce soit la bonne méthode. (…) Notre option prioritaire est plutôt de rester sur un modèle de bail, de location longue durée. Les options sont sur la table. Vendre n'est clairement pas notre préférence et ils le savent », a-t-il insisté.