Pour autant, la réponse ne semble pas à la hauteur des enjeux selon la CGPME qui considère que le dispositif évoqué dont les modalités restent à préciser, apparaissent plus complexe à mettre en oeuvre qu'un allégement de charges.
L’organisation a précisé que la question du financement de la protection sociale par d'autres revenus que ceux issus du travail était en suspens.
Malgré cela, le CGMPE a tenu à saluer le fait que la mesure soit financée par une réduction supplémentaire de 10 milliards d'euros de dépenses publiques tout en regrettant la remise en cause du taux réduit de TVA applicable à l'hôtellerie-restauration et au bâtiment, dont la dernière modification date de 2012.