Alors que la préparation des élections législatives occupe maintenant l’actualité, l’ancien ministre de la Justice de François Hollande (2016-2017) revient sur la servitude volontaire de l’Assemblée nationale durant la législature qui se termine.
Si le prochain renouvellement parlementaire porte en lui-même un enjeu (accorder au Président une majorité parlementaire ou, au contraire, imposer un rempart au pouvoir exécutif), l’auteur s’attache à décrire un Parlement qui, à ses yeux, va mal. De la multiplication des ordonnances à l’abandon de toute capacité de contrôle, il démontre pourquoi le quinquennat qui s’achève aura été marqué par le contournement des assemblées.
Voici la note "2017-2022, le quinquennat qui effaça l'Assemblée nationale"en version pdf.