Ce niveau signifie que le moustique tigre – Aedes albopictus – est implanté et actif dans le département. Selon le Conseil départemental, « il peut, dans certaines conditions très particulières, être vecteur de ces virus, c'est pourquoi une surveillance renforcée est mise en place jusqu'au 30 novembre ».
Jusqu'à présent, aucun cas autochtone n'a pourtant été signalé dans les Hauts-de-Seine. L'arrêté préfectoral permet la mise en œuvre conjointe de mesures visant à prévenir les risques de prolifération, à détecter et suivre l'évolution du moustique, ainsi qu'à protéger les personnes, au sein d'une cellule coordonnée par le préfet des Hauts-de-Seine et réunissant le Département des Hauts-de-Seine, l'Agence régionale de santé Île-de-France (ARS), les services de la préfecture et l'Entente de lutte interdépartementale contre les zoonoses (Eliz).