Anne Hidalgo et Valérie Trierweiler viennent d'inaugurer une exposition éphémère « Bring Back Our Girls ». L'objectif de l'événement : intensifier la mobilisation pour la libération des 220 jeunes nigérianes séquestrées par Boko Haram depuis la mi-avril.
Depuis plus de 100 jours, 220 lycéennes nigérianes sont séquestrées et réduites à l’esclavage par Boko Haram. Valérie Trierweiler, Anne Hidalgo, les fondations Elle, Kering et Raja - Danièle Marcovici qui œuvrent au service des femmes dans le monde, et la télévision de la diversité TV23 appellent la communauté internationale à intensifier sa mobilisation en vue de leur libération. L’exposition prend la forme de 220 silhouettes, comportant chacune le prénom d’une jeune fille enlevée, reliées par des chaînes. Comme le souligne la Mairie, « pendant un mois, elle rappellera aux Parisiens et aux touristes qui fréquentent cette place que l’avenir de ces lycéennes nous concerne toutes et tous ».